nOëlle carlin 

Je fais partie de ce courant de la céramique où la terre est poussée à la limite de la déchirure, entre l’humide et le sec - où elle semble naitre du sol à l’image des arbres.

 

Vitalité d’une sève terrienne, qui dans un mouvement de croissance pousse et contraint ce qui la contient, plus loin, encore.


C’est la fréquentation du jardin qui m’a fait retrouver les racines.